La Cité internationale de la tapisserie prend place dans l'ancienne Ecole Nationale d'Art Décoratifs d'Aubusson, entièrement réhabilitée par l'agence d'architecture Terreneuve, pour une expérience renouvelée.
Un parcours d'exposition totalement inédit: 1 600m², 3 salles et une plateforme de création contemporaine pour s'immerger dans l'univers de la tapisserie d'Aubusson.
Pour son ouverture, le 10 Juillet prochain, elle offre aux visiteurs un parcours d'exposition inédit, dont la scénographie est signée Frédérique Paoletti et Catherine Rouland. Tour à tour, il sera possible de découvrir des oeuvres tissées venues du monde entier, de s'initier aux savoir-faire de la tapisserie d'Aubusson et, clou du parcours, de voir la tapisserie en représentation dans la nef des Tentures.
Cet espace d'exposition aux dimensions monumentales propose un véritable voyage au travers de 5 siècles et demi de tapisserie d'Aubusson.
Ce lieu n'est pas seulement un nouveau musée pour la tapisserie, il adopte une démarche plus globale pour appréhender ce medium souvent méconnu, pourtant inscrit sur la liste représentative du Patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'Unesco depuis 2009. Il réunit donc le musée et un ensemble de fonctions en lien avec l'animation de la micro-filière tapisserie complète et préservée.
La Cité internationale de la tapisserie acceuille en son sein une formation professionnelle de lissiers. Confiée à un organisme régional de formation pour adultes (GRETA), elle débouchera sur un Brevet des Métiers d'Art à partir de la rentrée 2016.
Pour compléter cette ruche, les "Ateliers de la Cité" acceuilleront à partir de la rentrée des porteurs de projets textiles innovants, au sein d'une pépinière d'entreprises.
Autant de raison de "filer à Aubusson"!
Cité internationale de la tapisserie - www.cite-tapisserie.fr
Ouverture le 10 Juillet 2016
Lu dans la newsletter e-storming du 07/07/2016 - www.e-storming.com
Ce zoo s’étends sur 14,5 hectare, c’est donc un très grand chantier, d’autant plus qu’il faut penser au bien-être des animaux, réussir à faire un parcours intéressant pour les visiteurs du début à la fin, respecter l’environnement naturel de chaque espèce … Datant du 2 juin 1934, le zoo avait bien besoin d’une rénovation, même si le rocher emblématique de 65m de haut en avait déjà eu une en 1993. Le zoo était même en possibilité de fermer pour non-conformité, cela devenait donc une urgence.
Les nouveaux bâtiments ont été réalisés par l'agence de Bernard Tschumi et l'aménagement paysager par celle de Jacqueline Osty. Mr Tschumi cherchait à faciliter le travail des soigneurs et leurs déplacements, et s’est interrogé des années sur la possibilité d’avoir des façades doubles ou triples s’éparant le fonctionnel du visuel. La géométrie ici est proche de l’informe, afin de mieux se fondre dans le paysage. Le parc a été séparé en 5 biozones Patagonie, Sahel-Soudan, Europe, Guyane et Madagascar et seront bientôt rejoins par la dernière, l’Afrique équatoriale. 
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